Jeudi 30 janvier 2014
à l’Institut national des Langues et Civilisations orientales, Grand amphithéātre
Vendredi 31 janvier 2014
à l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Grande salle des séances
L’astronome approche la notion du temps en mesurant la régularité du mouvement des astres. Le paysan l’observe dans un cycle de saisons et de phénomènes météorologiques. Le grammairien note les modes d’expression d’un passé, d’un présent, d’un futur. L’historien le divise en périodes. Le poète y voit un facteur de mort ou de renaissance. L’artiste le représente en vieillard ou en tableaux de saisons. Tous pensent au futur et à l’éternité.
Comment les civilisations d’asie étudient-elles le temps objectif, comment appréhendent-elles le temps subjectif ? Quels sont les concepts, les noms, les formes d’expression, les périodisations, les mesures du temps ? Quels sont les couleurs, les travaux, les repos imposés par le flux des beau et mauvais temps qu’apportent les saisons ? De nombreuses disciplines ont occasion de répondre à des questions suscitées par le temps qui passe et le temps qu’il fait.